• Durval Discos



    Une excellente production cinématographique du Brésil.


    Le film est super du début à la fin. Il commence avec une séquence où la caméra se promène par São Paulo tant que les crédits s'encaissent dans le scénario. Une ouverture différente et intéressante.

    Le film est divisé en deux parties, première au correctement moment semble conduire le film à un moment de sommeil, mais bientôt  il change radicalement. Littéralement le disque tourne. Et l'histoire est sur Durval et sa mère Carmita.
    Ils vivent dans le même maison où fonctionne le magasin Durval Disques, qui déjà très ont été connus par le passé mais aujourd'hui vit une phase de décadence dû à la décision de Durval de ne pas vendre CDS. Un jour, Durval décide d'engager un employé pour aider sa mère dans les services domestiques. Il trouve Celia, que est d'accord avec le salaire basse qu'il veux payer. Après quelques jours dans l'emploi, Célia disparaît, en laissant une petite fille de cinq années d'âge - Kiki - et un billet, où elle demande pour que ils soignent de sa fille par trois jours, date où elle retournera. Durval et Carmita sont effrayants avec la présence de la fille, mais finissent en l'accueillant. Une observation de journal télévisé les place de pair avec la triste réalité sur la fille Kiki et à tel Célia. À partir de là, s'instaure une trame de contours policiers, en explosant des contradictions et de l'agonie entre les personnages. Le film est super...c'est bien aussi par la promenade musicale…

    Et en outre, une des propositions est montrer que tant dans la vie, que dans le vinyle, il y a le côté A et le côté B. Et exactement avoir celui-là deux côtés c'est que Durval se nie revendre CDS. Il dit à un client qu'il ne revend CDS "parce qu'un cd est très petit, n'a côté A et ni côté B, les gens jamais ne sait pas où se trouve cette musique que les gens aiment".

    Et celui-là c'est mon point personnel de proéminence du film : quel est notre côté A ? Et notre côté B ? Le cotê A doit être le quotidien (je suppose) qui est ce qui est plus fort, tant que le côté B est le côté obscur, celui qui surprend de temps en temps… et peut-être en faisant un pensée sur ça, les gens sache localiser nos musiques préférées...également concernant laquelle à l'envers notre côté B et ce que avec lui nous sommes capables de faire… et ainsi, la vie comme dans un vinyle semble plus organisée… mais, ce sera que celui-là quotidien confus dans ne devient pas CDS ? Et cette confusion dans ne les empêche pas de savoir où sont les musiques que nous voulons ? Je trouve qu'oui….je ne suis pas contre la modernité, mais la vie tant que vinyle me semble plus simple.

  • Commentaires

    Aucun commentaire pour le moment

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :