• Il s'agit de plus un filme brésilien. Il s'agit d'un film qui nous suce pour les problèmes du Brésil. La réalité est fortement montrée et le film a une langue ironique tout le temps. C'est un film qui met le doigt dans les blessés, un film que provoque. Se rebeller avec la réalité peut causer de divers maux à sa santé et aucune solidarité.

    Ainsi, le film montre la laborieuse tâche de survivre physiquement et mentalement dans moyen au chaos de la société brésilienne; il montre la difficulté qui atteint à tous indépendamment de la position sociale. Les situations abordées ont comme file conducteur un restaurant dans un quartier riche de São Paulo, dont le propriétaire est un homme raffiné, mais en même temps ironique. Les personnages sont un auteur qui réalise une promenade par le pays, en cherchant comprendre les problèmes de domination et l'oppression sociale. Un serveur qui se détache par sa descendance européenne, aspect physique, bonne instruction et insubordination. Une riche originaire de Rio de Janeiro inquiet à maintenir le minimum d'humanité dans la relation avec les personnes de classe plus basse. Son mari croit dans la rationalité comme forme d'enlever avantage de la bagunça typique du Brésil. Et la gérante du restaurant, une personne cativante, avec un passé dissimulé par les plusieurs histoires qui ont l'habitude raconter pour les amis et les raffinés clients du restaurant.

    Ce film est super pour met le doigt dans les blessés des personnes que vivantent dans un quotidien médiocre, sans réflexion et donc sans performance.



    Mais, sera le Brésil un pays chroniquement inviable?


    Je ne sais pas, mais comme a dit un des personnages, "je trouve que Chroniquement Inviable c'est un film nécessaire".


     


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  • Il s'il agit d'un documentaire brésilien, avec dix-neuf personnes qu'on de différents degrés d'insuffisance visuelle, de la myopie discrète à la cécité totale.

    Ces personnes décrivent comme ils se voient, comme voient les autres et  comme perçoivent le monde. L'auteur et le prix Nobel José Saramago, le musicien Hermeto Paschoal, le cinéaste Wim Wenders, le photographe Evgen Bavcar, le neurologue Oliver Sacks, l'actrice Marieta Severo, le conseiller municipal  Arnaldo Godoy, entre autres, font des révélations personnelles et inattendues sur plusieurs aspects relatifs à la vision : le fonctionnement physiologique de l'oeil, l'utilisation de lunettes et leurs implications sur la personnalité, la signification de voir ou ne pas voir dans un monde saturé d'images et aussi l'importance des émotions comme élément transformateur de la réalité s'est qu'elle est la même pour todos.

     L'intéressant est penser sur notre vision du monde. Nous voyons avec perfection? Ce serait notre vision du monde pauvre si faite seulement avec les yeux? À mon avis  le documentaire l'a touchée parce que j'ai une myopie, et je ne peux pas rester beaucoup de temps sans mes lunettes. Et c'est inévitable comme la vision de monde change avec elles. Sans lunettes je ne reconnais pas de personnes et de places que avec mes lunettes je reconnais. Je n'ai pas une vision globale, ma vision est focalisé où les lunnetes la dirigent. Peut sembler sans importance cela, mais quand il se sait que pour que il voie le monde à son contour ne suffit pas de tourner l'oeil, se doit tourner la tête, ceci fait oui différence; il diffère mais il ne dérange pas. C'est jusqu'intéressant. En conduisant à vie sous cette perspective, beaucoup de chose dans elle change.

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  • Une excellente production cinématographique du Brésil.


    Le film est super du début à la fin. Il commence avec une séquence où la caméra se promène par São Paulo tant que les crédits s'encaissent dans le scénario. Une ouverture différente et intéressante.

    Le film est divisé en deux parties, première au correctement moment semble conduire le film à un moment de sommeil, mais bientôt  il change radicalement. Littéralement le disque tourne. Et l'histoire est sur Durval et sa mère Carmita.
    Ils vivent dans le même maison où fonctionne le magasin Durval Disques, qui déjà très ont été connus par le passé mais aujourd'hui vit une phase de décadence dû à la décision de Durval de ne pas vendre CDS. Un jour, Durval décide d'engager un employé pour aider sa mère dans les services domestiques. Il trouve Celia, que est d'accord avec le salaire basse qu'il veux payer. Après quelques jours dans l'emploi, Célia disparaît, en laissant une petite fille de cinq années d'âge - Kiki - et un billet, où elle demande pour que ils soignent de sa fille par trois jours, date où elle retournera. Durval et Carmita sont effrayants avec la présence de la fille, mais finissent en l'accueillant. Une observation de journal télévisé les place de pair avec la triste réalité sur la fille Kiki et à tel Célia. À partir de là, s'instaure une trame de contours policiers, en explosant des contradictions et de l'agonie entre les personnages. Le film est super...c'est bien aussi par la promenade musicale…

    Et en outre, une des propositions est montrer que tant dans la vie, que dans le vinyle, il y a le côté A et le côté B. Et exactement avoir celui-là deux côtés c'est que Durval se nie revendre CDS. Il dit à un client qu'il ne revend CDS "parce qu'un cd est très petit, n'a côté A et ni côté B, les gens jamais ne sait pas où se trouve cette musique que les gens aiment".

    Et celui-là c'est mon point personnel de proéminence du film : quel est notre côté A ? Et notre côté B ? Le cotê A doit être le quotidien (je suppose) qui est ce qui est plus fort, tant que le côté B est le côté obscur, celui qui surprend de temps en temps… et peut-être en faisant un pensée sur ça, les gens sache localiser nos musiques préférées...également concernant laquelle à l'envers notre côté B et ce que avec lui nous sommes capables de faire… et ainsi, la vie comme dans un vinyle semble plus organisée… mais, ce sera que celui-là quotidien confus dans ne devient pas CDS ? Et cette confusion dans ne les empêche pas de savoir où sont les musiques que nous voulons ? Je trouve qu'oui….je ne suis pas contre la modernité, mais la vie tant que vinyle me semble plus simple.

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  • Celui-ci est un des films que j'aime plus. Initialement je me suis intéressé à lui parce qu'un ami se disait semblable avec le Brad Pitt, mais après voir le film, j'ai adoré l'idée du film, qui malgré romantique, est inspirant.

    L'histoire consiste au suivant : une médecin connaît par hasard un homme qui vient d'arriver dans sa ville. Ils si sentent attirés, mais bientôt après ce moment il est mort dans un accident. Ensuite, le Décès lui-même décide d'utiliser le corps de cette victime et va parler avec un entrepreneur, en disant qu'il est là pour le prendre mais, comme prétend connaître les habitudes des humains, propose retarder ce départ si l'entrepreneur rend ces jours intéressants et instructifs.

    Ironiquement, la fille de cet entrepreneur est à jeune médecin qui si avait senti attirée par un inconnu dans le début de l'histoire. Elle imagine qu'il se retrouve avec cet homme, sans savoir que le Décès utilise son corps et le curieux est que le Décès se passionne par elle et par un temps le décès veut être vie. Le décès se transforme dans sa contraire. Maintenant il est vie, matérialisée dans le corps de cet homme. Tant qu'il attend son moment de partir, Bill (l'entrepreneur) accompagne le Décès dans cette période de vacances. Le décès désire apprendre, comprendre la vie. Et le choix de Bill comme instructeur se doit à cause son expérience et de sa famille. L'environnement semble parfait et le Décès passe à vivre là. Le Décès se présente belle, juste, gentille… son visage séduisant de regarder brillant et magnétique il nous promet un moment  de sortir de la vie avec la tranquillité, une fin heureuse.

    Le Décès dans cette période connaît la passion, l'amour, la possession, la compassion, la colère… Essaye tout ce que les sens offrent… la saveur du beurre de cacahuète, son préféré. Il sent les larmes de l'adieu, leur touche, pour que mieux les connaissent et il fait penser: le décès a aimé la vie, nous aimons?

    Qui n'a pas jamais vu ce film, il voie. Je recommande. Et comme il excepte, a valu par la belle performance d'Anthony Hopkins, Claire Forlani et au quelques moments de Brad Pitt, que dans le film "The Curious Case Of Benjamin Button" il m'a rappelé le Joe Black…

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  • Pour célébrer le jour de la femme, je suis resté en pensant dans quelque film que je pouvais parler sur elles. Le premier que je me suis rappelé a été le "8 Femmes". Je dois avoir me rappelé de lui initialement par le titre (lol). Et ensuite, je me suis rappelé de "Freedom Writers" ; J'aime ce filme parce que il est un film lequel il montre combien une femme peut changer la vie des personnes, dans ce cas d'une classe d'élèves. D'autres films pourraient être incorporés la liste, mais ceux-ci déjà sont de bonnes recommandations.

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    Après le meurtre d'un homme, 8 femmes sont considérées des soupçons, en étant qu'un d'elles, avec certitude, est l'auteur du crime. Il s'agit d'une espèce de comédie policière au retour du décès de Marcel, à la une maison isolée par la neige, où les huit femmes se deviennent des soupçons quand le corps de Marcel apparaît avec un couteau dans les côtes. Chacune d'elles aurait une raison pour commettre le crime contre lui : sa femme, sa belle-mère, son beau-frère, sa soeur, leurs deux filles et aussi leurs deux employées changent des accusations. Toutes les femmes sont fermées à la le même maison, sans téléphone ni la possibilité de sortir. Et au fur et à mesure que nous avançons dans l'apurement de la responsabilité, plusieurs choses de leurs vies et de la vie de marcel vont en être révélé. La fin est surprenante, bien que j'aie trouvé le film fatigant. Je n'ai pas aimé aussi les chansons, que sans exception toutes les femmes interprètent. Mais malgré de cela, un film avec 8 femmes est intéressant d'être vu dans le jour de la femme… lol

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    Il pourrait être un film sur l'éducation, mais je le vois comme un film un peu plus importante. L'engagement de l'enseignante à travers de la littérature peut découvrir un chemin pour lequel leurs élèves s'intéressent aux études, aient conscience d'ils tant que personnes et se valorisent à ils propres, et en outre ait voix,  souligne le rôle de l'enseignante comme femme. Grâce à son dévouement, les vies des élèves de quelque manière il a changé. Et c'est donc qu'aujourd'hui, dans le jour de la femme celui-là est un film qui a une femme qui mérite mes félicitations.

    Le film dit l'histoire d'une enseignante qui va donner des leçons dans une école corrompue par la violence et tension ethnique, avec un système déficient, mais que combattra pour que la salle de leçon fasse la différence dans la vie des étudiants, se devient fait référence pour eux. La méthode de l'enseignante a consisté à donnerpour chaque élève un cahier pour lequel écrivent, quotidiennement, sur des aspects de leurs propres vies, depuis des conflits internes jusqu'à des problèmes familiers et sociaux. Aussi, il les a incités à lire des livres  et à partir d'éventuelles rencontres imaginaires chaque élève peut développer une attitude spéciale de tolérance envers l'autre. L'intéressant a été qu'en racontant leurs propres histoires, et en entendant l'histoire des autres, les élèves ont découvert le pouvoir de la tolérance, ont récupéré leurs vies insultes et ont changé leur monde.



                                                                Cro
    ire est pouvoir. Une femme qui croit réussit !

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